21 septembre 2007
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Une enquête du magazine "UFC Que Choisir"donne à réfléchir.
Sur 1039 publicités analysées et diffusées lors des programmes pour enfants, 87%portent sur des produits particulièrement sucrés ou gras, yaourts, desserts et céréales dans leur version les plus sucrées,glaces, confiseries, gâteaux, en contradiction formelle avec les recommandations des nutritionnistes.
Malgré les campagnes de prévention, l'obésité progresse de 5,7%par an, une véritable pandémie qui n'épargne plus la France.
Certaines entreprises de l'industrie agro-alimentaire n'ont pas pris leur responsabilité et n'ont pas modifié leurs pratiques publicitaires. Pire, quelques-unes vantent des produits qui contreviennent à l'hygiène de nos enfants et, dans le même temps,diffusent sur nos antennes des conseils nutritionnels.
C'est scandaleux surtout lorsqu'on compare les chiffres. Jugez plutôt.1,5 milliards d'euros, c'est le budget annuel de communication de ces industriels sans scrupules, 15 milliards d'euros, le coût assumé par la collectivité, donc par nous-mêmes, pour les soins liés à l'obésité (10fois plus).
Ajoutons à cela les 60% d'enfants qui regardent la télévision en rentrant de l'école, un peu moins le matin et nous avons 12% d'obèses parmi notre jeunesse.
Ne croyez-vous pas qu'il est maintenant grand temps d'agir.
Sur 1039 publicités analysées et diffusées lors des programmes pour enfants, 87%portent sur des produits particulièrement sucrés ou gras, yaourts, desserts et céréales dans leur version les plus sucrées,glaces, confiseries, gâteaux, en contradiction formelle avec les recommandations des nutritionnistes.
Malgré les campagnes de prévention, l'obésité progresse de 5,7%par an, une véritable pandémie qui n'épargne plus la France.
Certaines entreprises de l'industrie agro-alimentaire n'ont pas pris leur responsabilité et n'ont pas modifié leurs pratiques publicitaires. Pire, quelques-unes vantent des produits qui contreviennent à l'hygiène de nos enfants et, dans le même temps,diffusent sur nos antennes des conseils nutritionnels.
C'est scandaleux surtout lorsqu'on compare les chiffres. Jugez plutôt.1,5 milliards d'euros, c'est le budget annuel de communication de ces industriels sans scrupules, 15 milliards d'euros, le coût assumé par la collectivité, donc par nous-mêmes, pour les soins liés à l'obésité (10fois plus).
Ajoutons à cela les 60% d'enfants qui regardent la télévision en rentrant de l'école, un peu moins le matin et nous avons 12% d'obèses parmi notre jeunesse.
Ne croyez-vous pas qu'il est maintenant grand temps d'agir.
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