20 janvier 2008
7
20
/01
/janvier
/2008
09:53
Une récente étude du Ministère de l'Education Nationale,parue en décembre 2007, donne à réfléchir. Elle concerne les connaissances des élèves en histoire-géographie-instruction-civique à la fin de
leur scolarité à l'école primaire.
Plus d'un quart de la population étudiée semble avoir acquis les savoirs attendus.Ces élèves sont capables de mobiliser leurs connaîssances, de mettre en relation des documents, d'en dégager une synthèse, même sommaire. A l'opposé, 15% ne maîtrisent pas ces compétences.Certes, ils ont quelques connaîssances en histoire, peuvent répondre ponctuellement à quelques grandes questions mais sont en difficulté dés qu'il s'agit de traîter plusieurs sources d'information.
Entre ces situations extrêmes, plus du quart des élèves a beaucoup de mal à mettre en relation des savoirs trés parcellaires, à donner du sens à ces disciplines.
Les difficultés rencontrées par 40% des écoliers sont, en fait étroitement liées à une maîtrise insuffisante, voire trés insuffisante de la langue française.
Des résultats trés hétérogènes qui méritent une réflexion en profondeur sur les programmes de ces disciplines et posent de manière particulièrement frappante une des carences majeures de notre système éducatif: la maîtrise correcte du langage.
Des efforts ont pourtant été faits en ce domaine, ils sont encore insuffisants et doivent mobiliser plus que jamais l'ensemble des partenaires qui oeuvrent dans et hors de l'école.
Plus d'un quart de la population étudiée semble avoir acquis les savoirs attendus.Ces élèves sont capables de mobiliser leurs connaîssances, de mettre en relation des documents, d'en dégager une synthèse, même sommaire. A l'opposé, 15% ne maîtrisent pas ces compétences.Certes, ils ont quelques connaîssances en histoire, peuvent répondre ponctuellement à quelques grandes questions mais sont en difficulté dés qu'il s'agit de traîter plusieurs sources d'information.
Entre ces situations extrêmes, plus du quart des élèves a beaucoup de mal à mettre en relation des savoirs trés parcellaires, à donner du sens à ces disciplines.
Les difficultés rencontrées par 40% des écoliers sont, en fait étroitement liées à une maîtrise insuffisante, voire trés insuffisante de la langue française.
Des résultats trés hétérogènes qui méritent une réflexion en profondeur sur les programmes de ces disciplines et posent de manière particulièrement frappante une des carences majeures de notre système éducatif: la maîtrise correcte du langage.
Des efforts ont pourtant été faits en ce domaine, ils sont encore insuffisants et doivent mobiliser plus que jamais l'ensemble des partenaires qui oeuvrent dans et hors de l'école.